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Je vous présente la troisième partie intitulée PROSPECTIVES La prospective de coopération se base sur 4 principes : L’égalité (tous les participants associés à la prise de décision) La liberté (chacun est libre d’adhérer ou non) La justice (répartition des bénéfices entre membres) L’équité (limitation de la rémunération) Si l’un des principes n’est pas respecté la coopération prend fin rapidement. La prospective doit toucher tous les types de coopérations nationales ou internationales, bilatérales ou multilatérales. Par la suite, nous passons aux domaines de coopération les plus intéressants pour notre pays a savoir la sécurité, l’économie, l’environnement, et l’éducation. Commençons par la sécurité, l’état actuel en Méditerranée est inquiétante vu la propagation du terrorisme et des groupes djihadistes qui se localisent dans les zones frontalières, poussant ainsi le trafic d’armés, d’êtres humains et de stupéfiants. Tous ces facteurs touchent directement à la sécurité de tous les pays. Ajoutons à ce qui précède, un phénomène récurrent qu’est l’immigration clandestine qui a envahi la Méditerranée, causant ainsi plusieurs problèmes. Auparavant la procédure utilisée avec les migrants était la force et la dissuasion. Mais cette approche n’a pas aboutit au résultat souhaité, ce qui fait que leur nombre est de plus en plus en hausse. Pour cela nous devons penser et passer à d’autres approches plus innovantes et moins violentes. C’est pour cette raison que tous les pays du bassin méditerranéen doivent coopérer et que cette coopération doit s’orienter vers : Le partage de l’information surtout pour le sauvetage des naufragés. La standardisation des méthodes et des procédures de travail non seulement durant les exercices mais lors des opérations réelles. Veiller, dans le cadre des coopérations à ce que tous les pays du bassin méditerranéen aient le matériel et la technologie nécessaires pour faire face à ces problèmes communs. Approfondir la coordination dans la lutte contre le terrorisme surtout que les terroristes ne voient pas de frontières pour leurs actions. D’où la nécessité et l’importance de penser à la sécurité. Le migrant clandestin doit être considéré comme victime, il est une source de développement, une main d’œuvre puissante. Si les pays du bassin méditerranéen mettent en place un cadre légal pour Le migrant clandestin comme par exemple la France l’été dernier qui a sollicité auprès de la Tunisie, l’envoi d’employés spécialisés dans la restauration. Concluons donc que la sécurité est très importante pour développer et faire avancer tous les secteurs et certes elle a un impact sur l’économie. Passons maintenant au deuxième domaine de la coopération qui est l économie. Comme abordé précédemment l’instabilité et le manque de sécurité peuvent causer la baisse du nombre de touristes, et ainsi que l’hésitation des investisseurs étrangers de venir s’embarquer avec des nouveaux projets ce qui engendre la hausse rapide et massive du chômage et affecte donc l’économie du pays. Face à ce problème tous les pays de la Méditerranée doivent dans le cadre de la coopération ; Développer la mobilité professionnelle entre eux et ce par des accords et des lois qui protègeraient les employés, d’une part, et l’installation de centres de formation modernes et agréés pour répondre a cette mobilité professionnelle, d’autre part. De plus, il faut pousser la jeunesse à s’inscrire dans ces centres de formation pour être qualifiées et s’intégrer dans la vie professionnelle facilement. En outre, il faut coopérer d’une manière à favoriser l’économie littorale, à savoir la pêche et le tourisme écologique. Encourager l’industrie militaire en favorisant la coopération et l’échange de l’expertise qui est une source d’emploi et qui facilite l’ouverture vers d’autres marchés. En plus de tout ce qui précède nous devons imposer l’investissement dans les énergies renouvelables surtout que nous avons la chance d’avoir les énergies solaires et éoliennes dont nous pouvons bénéficier. Et maintenant après la sécurité et l’économie nous allons aborder le troisième domaine de coopération qui est l’environnement. Le monde de nos jours fait face à un grand changement climatique, et une sècheresse à cause de la pollution, l’évacuation de gaz toxique et aussi la surconsommation. Pour surmonter ces catastrophes nous devons dans le cadre de coopération ; Privilégier les transports verts pour diminuer l’évacuation de gaz. Réduire la consommation d’électricité par le choix d’équipements électriques et la favorisation des énergies renouvelables. Eviter le gaspillage d’eau par l’adaptation d’une gouvernance bien étudiée et moderne surtout dans le secteur agricole comme par exemple le modèle Singapore des fermes verticales. Pour les déchets il faut adopter un tri sélectif pour favoriser le recyclage et d’où l’échange de la technologie dans ce secteur pour diminuer la pollution. Et finissons par le quatrième domaine de coopération qui est l’éducation. Certes ce domaine est la pierre angulaire de tous les domaines précédemment cités vu que l’éducation est le moyen essentiel pour se cultiver, développer les connaissances et favoriser la recherche et développement. C’est une arme contre toute forme de terrorisme.